
dimanche 1 mars 2009
samedi 28 février 2009
vendredi 27 février 2009
samedi 21 février 2009
jeudi 19 février 2009
Brendan et le secret de Kells
"Au environ l'an 800, un jeune orphelin du nom de Brendan fut recueilli par l'abbé Cellach. Rapidement, l'homme s'attache au garçon, devenant son oncle adoptif. Brendan grandit au sein de l'abbaye de Kells convertit en forteresse afin de lutter contre d'éventuels assauts Vikings. Le garçon déborde d'énergie et de curiosité, mais il est étouffé par l'Abbé Cellach qui veut faire de lui son successeur. Hélas pour son oncle, Brendan n'a guère d'aspiration pour le christianisme. De nombreux interdits se dressent devant lui, le principal étant celui de sortir en dehors des remparts de l'abbaye. La vie de Brendan va être enfin bouleversée par la venue du Frère Aidan au sein de la communauté. Le vieil homme débarque d'Iona qui a totalement été massacrée par les hordes barbares. Ce maître enlumineur a réussi in extremis à sauver un précieux livre qui va donner son nom à la légende. Frère Aidan va passer tout son temps à parfaire le livre inachevé, y évoquant sa vie et le massacre d'Iona. Anticonformiste, avenant et drôle, il va devenir un véritable mentor pour Brendan, lui ouvrant les portes de l'art de l'enluminure. Le garçon se détourne inéluctablement de destin d'abbé de Kells imposé par son oncle Cellach. Il va ainsi braver de nombreux interdits afin d'aider Frère Aidan à finir le précieux livre. Il ira même en dehors des hauts murs de la fortification afin de récolter dans la forêt de précieuses baies qui serviront de pigments. Lors d'une de ses escapades, il va croiser Aisling. Ce mystérieux personnage aux traits féminins représente l'esprit de la forêt, mais elle fait partie aussi des Tuath de Dannan, des fées qui vivent aux coeurs des espaces verdoyants de l'Irlande. Sans le vouloir, Brendan va créer de grande tension au sein de la communauté ou enlumineurs et chrétiens vont s'opposer. Mais c'est l'arrivée des Vikings qui bouleversera définitivement l'abbaye. "
Ce projet ambitieux d'adaptation du livre de Kells a nécessité un budget avoisinant les 6 millions d'euros. La production fut répartie sur trois pays avec l'Irlande et le studio Cartoon Saloon, la France et Les Amateurs et enfin la Belgique et le studio Vivi Film. Ce film d'animation se démarque d'emblée par l'esthétique si particulière dans le design des personnages et celui des décors. D'une grande harmonie, la beauté formelle est un vrai régal, tant l'univers est chatoyant et original. Puisant son inspiration directement dans les illustrations des enluminures celtiques du livre de Kells, le réalisateur Tomm Moore a réussi sans entorses aux matériaux d'origine à insuffler littéralement vie aux personnages du livre. À la fois simples et épurés, leurs traits sont d'une grande légèreté. Il s'en dégage une finesse plastique qui propose de véritables tableaux vivants. Le réalisateur s'amuse principalement avec une esthétique plane en 2D entre corps et décors, proche de l'esprit des enlumineurs des livres anciens et celui de certains livres jeunesse.
L'inspiration essentiellement irlandaise permet d'insuffler au film un esprit visuel très personnel et atypique. Il faut dire que l'iconographie du livre est une source fondatrice de l'art irlandais, s'illustrant sur les pièces de monnaie du pays jusqu'aux blasons officiels. L'art celtique se remarque dans le moindre détail comme l'illustre le feu ou l'eau dont les formes en spirales rappellent les motifs des terres cuites de l'époque.
L'autre grand point fort du film réside dans son animation d'une fluidité éblouissante. Le mariage entre les techniques d'animation traditionnelles et celles informatiques a fait merveille, au point de ne plus à les différencier. Le mouvement des personnages et celui des éléments du décor bénéficient d'un rendu plastique ultra dynamique qui procure au film une vivacité de chaque instant. Les passages en dehors de la forteresse sont des plus envoûtants, la faune et la flore s'animant avec fougue et expressionnisme.
Cette richesse picturale est loin de réduire le film en une pure esbroufe visuelle. Bien au contraire, elle rentre parfaitement en adéquation avec le scénario qui est travaillé de telle sorte que petits et grands puissent y trouver leur intérêt. Comportant plusieurs niveaux d'interprétations, l'histoire et les symboles mis en scène sont recherchés, si bien que Pangur Ban n'est pas qu'une simple petite chatte, elle renvoie au christianisme celtique et à la mémoire d'Iona. Ainsi, chaque protagoniste possède de nombreuses facettes qui permettent d'enrichir la profondeur du film. L'univers fantastique et peu commun des enlumineurs mélange adroitement histoire de l'Europe et l'histoire de l'art.
Loin du rôle d'abbé dont il était prédestiné, le jeune Brendan va se révéler au travers du noble art d'enlumineur, nous faisant partager ses moments de doutes sur sa nouvelle vocation. De ses débuts d'illustrations grossières, il va peu à peu acquérir une solide expérience au point que les personnages qu'il couche sur le papier vont prendre vie et se confondre avec le monde environnant, ce qui donnera lieu à un passage de pure fantaisie. Sa quête initiatique va être semée d'embûches, affrontant l'autorité de son oncle, mais aussi les dangers en dehors de la forteresse : loups, vikings, et le dieu Crom Cruach lui-même. À la fois, original et rafraîchissant, Brendan et le Secret de Kells n'accuse jamais de temps mort, ni de lassitude. Entre onirisme et imaginaire pur du héros Brendan, on déguste des yeux chaque instant du film.
source: http://www.dvdrama.com/news-30696-cine-brendan-et-le-secret-de-kells.php





mardi 17 février 2009
jeudi 29 janvier 2009
Steve Mc Curry

Steve McCurry (né en 1950 à Philadelphie, dans l'État de Pennsylvanie, États-Unis) est un photographe américain. Il vit à New York, à Manhattan, en plein quartier universitaire, à deux pas de Washington Square.
Membre de l' Agence Magnum depuis 1986, il parcourt le monde à la recherche de ce qu'il appelle « l'inattendu, le moment du hasard maîtrisé, qui permet de découvrir par accident des choses intéressantes que l'on ne cherchait pas ». Il est très connu pour sa photographie en couleur très évocatrice, dans la tradition du reportage documentaire.
source: Wikipédia







Site de l'artiste
Galerie
dimanche 25 janvier 2009
vendredi 23 janvier 2009
Carnet de bord #5
Une fois n'est pas coutume, je vais mettre quelques passages écrits de mon carnet de bord...
"Journée de repos dans un ciel gris traversé par des rayons de lumière."
17 janvier 2009
"J'entends le bruit de la pluie sur les tôles du toit. Le vent qui souffle dans les bambous. Le portail qui grinçe.
C'est comme une musique dont la partition aurait été écrite par la nature. Symphonie de jour de tempête, symphonie d'un jour d'hiver.
En ouvrant la porte, j'aperçois les gouttes révélées par la lumière des lampadaires, les plantes et les arbres blancés au gré des bourrasque et le portail qui se démène pour sortir de ses gonds.
C'est là que je réalise qu'il faut que j'aille prendre mon train sous la pluie.
Damned"
20 janvier 2009
"Je me laisse emporter par le bercement du train sur les rails, je vais vers d'autres horizons quand une voix impersonnelle, presque froide me tire de ma somnolence annonçant le prochain arrêt. Las, je me traîne vers la porte, le train n'étant pas encore arrivé, je regarde par la fenêtre et je reste bluffée comme tout les soirs par la beauté des lumières de la ville quand on passe sur le viaduc. Vision poétique dont je ne me lasse jamais.
The ligt of the city is like faeries congealed by the time.
Les gouttes dégoulinent sur la vitre, acceuillie par la pluie..."
22 janvier 2009
Un peu de poésie sur ce blog, ça en manquait.
"Journée de repos dans un ciel gris traversé par des rayons de lumière."
17 janvier 2009
"J'entends le bruit de la pluie sur les tôles du toit. Le vent qui souffle dans les bambous. Le portail qui grinçe.
C'est comme une musique dont la partition aurait été écrite par la nature. Symphonie de jour de tempête, symphonie d'un jour d'hiver.
En ouvrant la porte, j'aperçois les gouttes révélées par la lumière des lampadaires, les plantes et les arbres blancés au gré des bourrasque et le portail qui se démène pour sortir de ses gonds.
C'est là que je réalise qu'il faut que j'aille prendre mon train sous la pluie.
Damned"
20 janvier 2009
"Je me laisse emporter par le bercement du train sur les rails, je vais vers d'autres horizons quand une voix impersonnelle, presque froide me tire de ma somnolence annonçant le prochain arrêt. Las, je me traîne vers la porte, le train n'étant pas encore arrivé, je regarde par la fenêtre et je reste bluffée comme tout les soirs par la beauté des lumières de la ville quand on passe sur le viaduc. Vision poétique dont je ne me lasse jamais.
The ligt of the city is like faeries congealed by the time.
Les gouttes dégoulinent sur la vitre, acceuillie par la pluie..."
22 janvier 2009
Un peu de poésie sur ce blog, ça en manquait.
vendredi 16 janvier 2009
Mr Brouillon

Et voilà un p'tit truc/essai. Voilà de quoi je suis capable en ce moment, on m'excusera parce que je balade(malade, hé) une bonne trachéite avec un rhume. Y EN A MARRE! En toussant je m'énerve et j'embête tout ceux qui sont autour de moi, vie cruelle...Et je suis bien crevée en plus.
Il fait moins froid le matin et c'est agréable de ne pas glisser sur une plaque de verglas le matin quand je pars. Mais les temps sont gris.
J'avance dans ma recherche, dans mes boulots (si on peut appeler ça des boulots) pour mes cours, je dessine, j'observe(bientôt un post avec tout ça), je viens de me regarder trois saisons du Docteur Who, série dont je suis tombée amoureuse(magnifique jeu de l'acteur principal David Tennant). Je regarde les gens sur le quai de la gare(je prends le train tout les jours), j'invente des tables avec des plantes dessus...Bref je vis du mieux que je peux et je vous salue.
jeudi 1 janvier 2009
Inscription à :
Articles (Atom)