mardi 13 avril 2010

BIENVENUE À ZOMBIELAND



Réalisé par: Ruben Fleischer
Avec: Woody Harrelson, Jesse Eisenberg, Abigail Breslin...

Dans un monde infesté de zombies, deux hommes tentent de survivre. Columbus, le plus jeune, est terrorisé à l'idée d'être dévoré. C'est une poule mouillée, mais sa prudence pourrait bien lui sauver la vie... Tallahassee, lui, est un chasseur de zombies qui ne craint plus rien ni personne. Armé d'un fusil d'assaut, il se donne corps et âme à la seule mission qui compte pour lui : trouver les derniers exemplaires de ses biscuits préférés, des Twinkies, encore disponibles sur Terre.
Dans leur périple, les deux survivants sont rejoints par Wichita et Little Rock, deux jeunes filles. Tous ont désormais deux défis impossibles à relever : affronter les zombies et apprendre à s'entendre...



Il faut savoir que d'habitude, je n'aime pas du tout les films gores, avec plein de sang, tripes et autres joyeusetés(bon appétit). Mais force est de constater que ce film est un bon film. Parce que d'abord, c'est bien fait, bonne réalisation(le générique est top), avec quelques ralentis bien placés, les scènes dans le parc d'attraction sont à mourir de rire. C'est drôle, plein de répliques succulentes, l'apparition d'une certaine personnalité apporte beaucoup. La musique se calque bien (très bel abattage de zombies sur musique classique), et rythme le film. Toute cette histoire de zombies n'est qu'au final un support pour aborder les thèmes de l'amitié, des plaisirs, du passage à la vie adulte. Bref, un film plein d'humanité, de sang(il faut bien le dire), amusant, idéal pour un moment entre copains ou en famille. Et parce que merde, le coup du piano est trop bon.


TRAILER

vendredi 26 mars 2010

M LE MAUDIT

Séance de croquis devant "M le Maudit", de Fritzlang, en cours de dessin, ce matin, quelques arrêts sur image et croquis libre, format raisin, très instructif!








J'essayerais de mettre du nu pour la prochaine fois.

mardi 9 mars 2010

PETITES ANNONCES


Capitulation excessive de macarons endeuillés du sel.

Marquise excentrique mangeant un chili con carne désoeuvré comme un singe au soleil.

Martyrisant un pou, je me penchais contre le rebord de la fenêtre et faisais pousser des jonquilles sur une colline aux reflets idylliques.

Caractère cramoisi cherche aspirine.

Socialisation des fourmis en terre neutre.

Crottin de pivoine se marie avec la belle jument assoiffée d'amour.

Merci à la fille secrètement en colère contre le gouvernement idiot et au parasite extincteur de son espèce.

Joli message de haine à un con de droiture enrayé par la réussite de sa femme dans un magasin vendant de la bienveillance au gens qui en ont besoin.

Salut aristocratique par un lapin aux voisins peu encouragés par la tortue qui traversait au feu rouge.

Le gendarme se méprise sur la feuille de chou que lui a envoyé sa cousine colombienne qui partait vers le toit de l'arrogance pour lui envoyer des baisers teintés de menace.

Mine de rien, je cueille un peu de prestige et le coiffe à la façon de Miquel qui préfère, lui, approcher la mort avec un bouquet de manigances.

Saute, parti de malheur!

La beauté de ton pied me ravit et me lance dans une traînée de caprices.

Magnificence des jurons imposés par la parjure et le lion qui grogne à la façon de mon ami, entêté à ses heures perdues, et vaincu par l'envie d'en découdre avec un crachat réformiste suisse.

Ma vie ne prend sens que lorsque j'ai des boucles d'oreilles en forme de bouches.

Le cousin de la tante du frère de la fille du père et par alliance à son frère qui se trouve être par ascendance celui de mon père m'invite à boire un thé.

Quoi de plus noble qu'un tireur oubliant qu'il est sur une montage de creux?

La thèse de l'écureuil tuant sa femme par envie de yaourt à la banane envoyé par son frère me rend perplexe.

Et si la cure ne montrait que le côté manipulateur des sens qui démontrent une envie de chocolat à la poire?

Miroitant une épingle à la chasteté rivalisant avec un escargot, il plongea dans une suite de mots équinoxes.

Sautant sur l'occasion de devenir une femme brillante par sa douche, elle maugréa un crachin breton et maudit sa mère.

Romance exagérée entre l'antilope et la pelle par un fou soliste.


::Écriture automatique comme les surréalistes::

mardi 23 février 2010